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  • MINAMATA: TRAITE HISTORIQUE SUR LE MERCURE.....

    UN METAL HAUTEMENT TOXIQUE POUR LA SANTE

    Les gouvernements devraient signer et ratifier un accord visant à protéger l'environnement et la s

     

     

    « Des millions de personnes dans le monde sont exposées aux effets toxiques du mercure; ce traité permettra de protéger à la fois l'environnement et le droit des personnes à la santé. »
    Juliane Kippenberg, chercheuse senior sur les droits des enfants au sein de Human Rights Watch

     

    Les gouvernements du monde entier devraient immédiatement signer la nouvelle convention historique de Minamata sur le mercure, a indiqué Human Rights Watch aujourd’hui. De hauts représentants internationaux  se sont  réunis à Kumamoto au Japon le 7 octobre 2013, afin d'adopter officiellement le traité. Une fois adopté, il sera ouvert à la signature et à la ratification.

    Le mercure est un métal toxique qui peut causer des maladies, entraîner des incapacités et provoquer la mort. La convention oblige les gouvernements à réduire l’usage du mercure et les émissions dans un certain nombre d'industries et de procédés. 

    « Des millions de personnes dans le monde sont exposées aux effets toxiques du mercure, a déclaré Juliane Kippenbergchercheuse senior sur les droits des enfants au sein de Human Rights Watch. Ce traité permettra de protéger à la fois l'environnement et le droit des personnes à la santé. »

    Le traité porte le nom de la ville JAPONAISE deMinamataoù l’une des pires catastrophes d’empoisonnement liées au mercure s’est produite dans les années 1950. Une usine chimique a pollué la baie avec du mercure. D’après les chiffres officiels, 1 700 personnes ont trouvé la mort, mais le chiffre réel serait en réalité bien plus élevé. En outre, des dizaines de milliers d’autres personnes ont souffert d'invalidités permanentes (lésions au cerveau, incapacités intellectuelles, anomalies congénitales et autres problèmes de santé). De nombreuses victimes étaient des enfants.

    Le mercure est actuellement utilisé, dans la plupart des cas, dans des petites mines d'or. Il est estimé que 10 à 15 millions de personnes travaillent dans des mines d’or de petite taille en Afrique, en Asie et en Amérique latine et se servent du mercure comme d’une méthode simple et peu onéreuse pour extraire l’or. Lorsque le mercure liquide est versé sur le minerai broyé, il attire les particules d'or et forme un amalgame. Pour séparer ensuite l’or du mercure, les mineurs brûlent cet amalgame, transformant ainsi le mercure en gaz toxique. L'or des mines de petite taille est, dans la plupart des cas, exporté et se retrouve sur le marché aurifère mondial. 

    Les recherches de Human Rights Watch ont permis de prouver l’usage du mercure par des enfants et des adultes au Mali, au Nigéria, au Ghana, en Tanzanie et en Papouasie Nouvelle Guinée.Bien que le mercure soit particulièrement nocif pour les enfants, de nombreux enfants travaillent avec du mercure quotidiennement, sans être conscients des risques pour leur santé. Le droit international interdit ce type de travail dangereux pour les enfants. Les enfants sont également exposés à des vapeurs de mercurelorsque leurs parents, frères ainés ou sœurs ainées brûlent l’amalgame à la maison. 

    « En vertu de la convention de Minamatales initiatives autour du mercure n’émanent plus d’une volonté individuelle », a déclaré Juliane Kippenberg. « Les gouvernements qui signent et ratifient la convention sont désormais légalement tenus de réduire l’exposition au mercure dans les mines et de faire des efforts particuliers pour protéger les enfants ainsi que les jeunes femmes en âge de procréer. »

    En vertu de la convention, les pays abritant des mines d’or de petite taille devront mettre au point des plans d’action nationaux. Les plans couvriront des mesures visant à éliminer les pratiques particulièrement nocives, comme la combustion de l’amalgame or-mercure dans des zones résidentielles et la combustion de l’amalgame sans les dispositifs appropriés pour la capture du gaz de mercure ainsi généré. Alors que la convention ne fixe aucune date de fin pour l'usage du mercure dans les mines, elle oblige les gouvernements à réduire l'usage du mercure et à promouvoir des méthodes alternatives sans mercure. 

    Le traité contraint également les gouvernements à protéger la santé des petites communautés minières en collectant des données sur la santé, en formant des travailleurs de la santé et en sensibilisant sur les dangers du mercure à travers l’installation de structures sanitaires. En outre, il appelle les gouvernements à prévenir et à traiter toutes les populations touchées par le mercure et à renforcer les capacités des professionnels de la santé à gérer les maladies liées au mercure. C’est la première fois qu’un accord environnemental reconnaît l’importance du secteur de la santé par le biais d’un article individuel sur la santé. 

    « Il est important que le traité reconnaisse le rôle critique que le secteur de la santé doit jouer non seulement en termes de prévention mais également en termes de surveillance des niveaux d’exposition des patients et de prestation des soins dont ces patients ont besoin »a déclaré Juliane Kippenberg. 

    Le mercure attaque le système nerveux central et peut causer des invalidités permanentes, y compris des lésions au cerveau. Des niveaux plus élevés d’exposition au mercure pourront causer des insuffisances rénales et respiratoires et provoquer la mort. Le mercure est particulièrement nocif pour les enfants, car leur système est toujours en développement et les éventuelles lésions seraient irréversibles. 

    Les gouvernements devraient envoyer un signal de soutien clair en signant dès à présent la convention, à l'occasion de la conférence diplomatique, a indiqué Human Rights Watch. Ils devraient également prendre les mesures nécessaires pour s’assurer que leur parlement ratifie la convention aussitôt que possible.

    La convention a été négociée pendant plus de trois ans sous les auspices du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Elle entrera en vigueur lorsque 50 gouvernements l’auront ratifiée. Une fois applicable, la convention offrira un mécanisme financier visant à aider les gouvernements à développer les ressources nécessaires et à apporter une assistance technique aux fins de la réduction de l’usage du mercure par le biais du Fonds pour l'environnement mondial (FEM)un fonds fiduciaire géré par plusieurs donateurs. Même avant que le traité n’entre en vigueur, les gouvernements pourront toutefois demander des aides financières par le biais du fonds.

    « Dans le monde entier, en ce moment même, des personnes sont touchées par les ravages du mercure », a conclu Juliane Kippenberg. « Les gouvernements devraient sauver la vie des gens et préserver leur santé en commençant dès à présent à réduire l’usage du mercure et ses émissions dans les mines et les autres industries. »

    CONVENTION DE MINAMATA AGREE PAR LES NATIONS A GENEVE POUR L INTERDICTION DE L UTILISATION DU MERCURE

     

    UNEP

    CONVENTION DE MINAMATA AGREE PAR LES NATIONS A GENEVE SUR L INTERDICTION DE L'UTILISATION DU MERCURE

    (Sources: UNEP : Programme des Nations Unies pour l'Environnement)


    Genève / Nairobi, 19 Janvier 2013

     L'effort international pour faire face mercure un métal lourd notoire avec important pour la santé et l'environnement des effetsa été livré aujourd'hui un sérieux coup de pouce avec les gouvernements d'accepter un traité mondial juridiquement contraignant pour prévenir les émissions et les rejets.

    La Convention de Minamata sur le mercure, le nom d'une ville du Japon où les dommages de santé grave est survenu à la suite de la pollution au mercure dans le milieu du 20ème siècle, offre des contrôles et des réductions à travers une gamme de produits, de procédés et les industries où le mercure est utilisé, libérés ou émise.

    Celles-ci vont de l'équipement médical tels que les thermomètres et d'économie d'énergie des ampoules à l'exploitation minière, du ciment et des centrales au charbon.

    Le traité, qui a fait quatre ans de négociation et qui sera ouvert à la signature lors d'une réunion spéciale au Japon en Octobre, aborde également l'exploitation directe de mercure, l'exportation et l'importation du métal et un stockage sûr des déchets de mercure.

    Le repérage des populations à risque, le renforcement des soins médicaux et une meilleure formation des professionnels de la santé à identifier et à traiter les effets liés au mercure feront également partie de la nouvelle convention.

    Le mercure et ses composés différents ont une gamme d'effets graves pour la santé, y compris des lésions cérébrales et neurologiques en particulier chez les jeunes.

    D'autres incluent des dommages aux reins et des dommages au système digestif. Les victimes peuvent souffrir de pertes de mémoire et des troubles du langage aux côtés de nombreux autres problèmes bien documentés.

    Le financement initial à action rapide jusqu'à ce que le nouveau traité entre en vigueur dans les attendus d'ici trois à cinq ans ont été promis par le Japon, la Norvège et la Suisse.

    Soutien aux pays en développement est également prévu par le Fonds pour l'environnement mondial et un programme une fois que la convention est opérationnel.

    Achim Steiner, Sous-Secrétaire général et Directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), qui a convoqué les négociations entre plus de 140 Etats membres, à Genève, a dit à la fin: "Après complexes et souvent toutes les séances de nuit, ici à Genève, les pays ont aujourd'hui jeté les bases d'une réponse globale à un polluant dont la notoriété est reconnue depuis plus d'un siècle. "

    "Tout le monde dans le monde est de bénéficier des décisions prises cette semaine à Genève, en particulier les travailleurs et les familles de mineurs d'or à petite échelle, les peuples de l'Arctique et de cette génération de mères et de bébés et les générations à venir. Je me réjouis de la ratification rapide de la Convention de Minamata afin qu'il entre en vigueur dès que possible ", at-il dit.

    Fernando Lugris, le président uruguayen des négociations, a déclaré: «Aujourd'hui, dans les premières heures du 19 Janvier 2013, nous avons fermé un chapitre sur un voyage qui a pris quatre ans de négociations souvent intenses, mais finalement couronnée de succès et a ouvert un nouveau chapitre vers une durable avenir. Cela a été fait au nom des populations vulnérables partout dans le monde et représente une opportunité pour un siècle plus sain et plus durable pour tous les peuples ».

    L'ambassadeur Franz Perrez du Ministère fédéral de l'environnement, de la Suisse a dit: «La Suisse, qui a initié avec la Norvège les négociations pour une convention sur le mercure, est très heureux de ce succès impressionnant. Il nous aidera à protéger la santé humaine et l'environnement partout dans le monde et est la preuve que le multilatéralisme peut fonctionner lorsque la volonté politique existe. "

    «Ce traité n'apportera pas une réduction immédiate des émissions de mercure. Il devra être amélioré et renforcé, de faire tous les poissons propres à la consommation ", a déclaré David Lennett des Natural Resources Defense Council, représentant le Groupe de travail Zéro Mercure une coalition mondiale d'ONG environnementales" Still, le traité élimination du mercure dans de nombreux produits et nous l'accueillons comme un point de départ. "

    La décision de lancer des négociations a été prise par les ministres de l'environnement lors de la session de 2009 du Conseil d'administration du PNUE et de la négociation finale et cinquième a eu lieu cette semaine à Genève.

    Le champ d'application du nouveau traité qui met en contrôles et également en ce qui concerne les mesures de réduction du mercure est la suivante.

    Produits

    Les gouvernements se sont entendus sur une série de produits contenant du mercure dont la production, l'exportation et l'importation sera interdite en 2020.

    Il s'agit notamment de: -

    Piles, à l'exception des batteries «pile bouton» utilisé dans les dispositifs médicaux implantables

    Commutateurs et relais

    Certains types de lampes fluorescentes compactes (LFC)

    Le mercure dans les lampes fluorescentes à cathode froide et les lampes fluorescentes à électrode externe

    Savons et cosmétiques

    Certaines formes de non-appareils médicaux électroniques tels que les thermomètres et les tensiomètres sont également inclus pour l'élimination d'ici 2020.

    Les gouvernements ont approuvé des exceptions pour certains dispositifs de mesure importantes où actuellement il n'y a pas de rechange sans mercure.

    Vaccins où le mercure est utilisé comme agent de conservation ont été exclus du traitéont produits utilisés dans des activités religieuses ou traditionnelles.

     


    Les délégués ont accepté une réduction progressive de l'utilisation des amalgames dentaires .

     

     

    La France signe la Convention internationale de Minamata sur le mercure


    Philippe MARTIN, Ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, se félicite de la signature de la Convention de Minamata sur le mercure au cours de la conférence diplomatique organisée par le Japon à Kumamoto du 9 au 11 octobre. Il s’agit d’un accord international juridiquement contraignant qui résulte de cinq années de négociations sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).


    Cet accord traite du mercure dans tout son cycle de vie, de l’extraction primaire au traitement en tant que déchet. La Convention de Minamata formule des objectifs, au niveau mondial, de réduction de la production et de l’utilisation du mercure mais aussi de diminution des émissions dans l’air et des rejets dans l’eau et les sols.

    Le texte prévoit notamment la fermeture programmée des mines de mercure existantes afin de limiter l’approvisionnement en mercure au seul produit du recyclage des déchets mercuriels. Simultanément, les produits contenant du mercure et les procédés industriels qui l’utilisent seront strictement limités.

    La Convention de Minamata constitue le premier accord international depuis 12 ans dans le domaine de la chimie et des déchets. Son nom rend hommage aux nombreuses victimes de la pollution par ce métal hautement toxique dans la baie de Minamata, au Japon, entre 1932 et 1966.

    C’est une convention globale qui fait appel à des notions du droit international de l’environnement : gestion sûre et écologiquement rationnelle des stocks et des produits, utilisation des meilleures techniques disponibles et amélioration des pratiques environnementales pour réduire les émissions de mercure dans l’air, l’eau ou les sols.

    La France qui ne possède pas de mines de mercure a déjà interdit de nombreux produits comme les thermomètres au mercure. Son industrie s’organise pour utiliser des procédés industriels alternatifs, pour la production de chlore par exemple. 
    En dix ans, les émissions de mercure dans l’air ont été divisées par deux.

    Retrouvez le texte de la Convention de Minamata, en français en ligne.

    Plus d’informations sur le mercure, ses composés et ses effets sur www.unep.org
     
    Télécharger le communiqué de presse (PDF - 134 Ko)

    Contact presse :  01 40 81 78 31


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  • Suite à toute opération de chimiothérapie, les tumeurs cancéreuses se développent de plus en plus rapidement. Accidentellement, des chercheurs Aux Etats-Unis ont découvert récemment la vérité fatale sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont assez dures à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Selon cette étude, la chimiothérapie tend à induire la libération d’une protéine (WNT16B) dans les cellules saines qui aide à favoriser la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

    L’inutilité de La chimio dans le traitement et la guérison du cancer

    Inutile plutôt dangereux si on croit les découvertes de cette étude, le traitement chimio active surtout la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée.
    On savait déjà que les traitements à base d’une chimio n’étaient qu’une vaste escroquerie, mais à travers cette étude nous pourrions en avoir la preuve décisive. Non seulement la chimiothérapie, étant la méthode standard de traitement du cancer actuellement,est, selon l’étude un fiasco total. Publiées dans le journal Nature Medicine,les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui alimente en vérité les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.
    Le scandale du siècle est déjà dénoncé par Le Dr. André Gernez depuis des décennies !!!

                               filmscienceparallele via Youtube

     

    La Chimio & l’ADN font une liaison fatale

    Comme ceci ne suffisait pas, la chimio endommage également l’ADN des cellules saines de façon irréversible, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. L’action combinée de la destruction de cellules saines et la promotion de cellules cancéreuses fait techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer qu’un protocole de traitement cancéreux, par définition, fait qui devrait retenir l’attention de quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-même en ayant un cancer, soit parce qu’il connaît quelqu’un d’autre qui en est affecté.
    Quand le WNT16B (la protéine) est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir et se multiplier, mais le plus important c’est que ces mêmes tumeurs deviennent plus résistantes à une thérapie ultérieure.
    Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, un des plus grands spécialistes du cancer aux États-Unis disait :
    « Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison ».

     

    Dispenser la chimio augmente les chances de récupérer sa santé

    En effet, cela veut dire que la technique de la chimiothérapie toute entière n’a pas en réalité aucune valeur, et qu’elle est en fait au complet détriment du patient cancéreux. Celui qui cherche vraiment à guérir d’un cancer évitera la chimio, et recherchera une voie alternative. Laquelle peut comprendre les traitements alternatifs du Dr Gerson ou la cure de Breuss ou les aliments et nutriments anti-cancer comme le curcuma, ou encore des traitements à base de fortes doses de vitamine C et la vitamine D….
    Une étude similaire publiée l’année dernière révélait déjà que toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui tue les patients au bout du compte, cette autre étude a conclu que les drogues anti-cancer, qui sont habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des métastases.

     

    source http://reseauinternational.net


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  • Les lampes à incandescence classiques ont disparu, remplacées par des ampoules fluocompactes quatre à cinq fois moins énergivores. Mais plusieurs études et un avis de la Commission de la sécurité des Consommateurs (CSC) montrent que ces nouvelles venues posent plusieurs questions de sécurité sanitaire, en particulier à cause des vapeurs de mercure qu’elles contiennent.

    100 W, 60 W… légalement, toutes les ampoules classiques, dites à incandescence, sont ou vont être interdites dans les mois qui viennent. À part les halogènes, qui ne disparaîtront qu’en 2016, les 180 millions d’ampoules équipant les foyers français devront être remplacées par un éclairage de nouvelle génération. Sur le plan des économies d’énergie, c’est une excellente chose : les ampoules fluocompactes consomment 4 à 5 fois moins d’électricité pour un éclairage aussi intense et leur durée de vie est de 6.000 à 10.000 heures, contre 1.000 pour les ampoules classiques. Cependant, plusieurs caractéristiques de ces ampoules posent problème, dont, notamment, la présence de vapeurs de mercure à l’intérieur du tube.

    Quatre tonnes de mercure sont libérées chaque année dans l’atmosphère par l’industrie (Citepa). La pollution par ce métal lourd est malheureusement déjà bien présente. Les 150 kgcontenus dans les 30 millions d’ampoules changées chaque année peuvent sembler anodins, d’autant qu’ils sont traités et recyclés. Mais qu’en est-il lorsqu’une lampe se brise chez soi ? La question qui se pose ici est de ne pas sur-contaminer son lieu de vie, et en particulier les espaces occupés par les enfants.

    Un toxique connu, des inquiétudes et une batterie de tests:

    Le mercure (symbole Hg) est un métal extrêmement toxique pour l’être humain et l’environnement. Liquide dans les conditions de pression et de température standard, il est relativement volatil. Après inhalation, sa liposolubilité le fait passer rapidement dans le sang. Sous sa forme métallique Hg0, rien ne l’arrête, pas même les barrières hémato-encéphalique et placentaires, filtres qui protègent respectivement le cerveau et le fœtus des substances dangereuses. Une fois en place, oxydé par différentes enzymessous la forme Hg+ ou Hg2+, il ne peut plus ressortir : il y a accumulation. Lié de manière stable à différentes protéines, il va dérégler nombre de processus biologiques, et en particulier le développement foetal et cérébral. Cibles les plus sensibles : les femmes enceintes et les enfants.


    Le mercure, étrange métal liquide, est aussi puissamment toxique pour les organismes vivants. © Ignacio Conejo-flickr-CC BY-NC-SA 3.0

    Dans étude américaine parue en février, des chercheurs de laJackson State University ont réalisé des tests pour connaître la quantité de mercure pouvant être relargué lors du bris d’une de ces ampoules. Sans être alarmante, l’étude fait ressortir les différences de quantité de mercure contenu dans les lampes selon le fabricant. Elle montre également que sur le long terme, une ampoule brisée peut libérer des quantités de mercure supérieures au seuil d’exposition maximal, fixé à 0,2 µg.m3 d’air aux États-Unis. Et les chercheurs de donner des recommandations dans l’usage et lors du bris accidentel de ces équipements.

    Pas de seuil maximal d’exposition au mercure en France !

    Mais qu’en est-il en France ? Quel est le seuil fixé pour la pollution au mercure ? Interrogée sur le sujet, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (Anses) ne s’engage pas et renvoie à l’avis émis fin février par la Commission de la Sécurité des Consommateurs (CSC). Après enquête, celle-ci a effectué ses propres tests, brisant différentes ampoules, éteintes ou allumées, dans une pièce plus ou moins ventilée et mesurant à différentes hauteurs la concentration en mercurehttp://www.securiteconso.org/article801.html dans l’air.

    L’expérience montre là encore une grande disparité de la teneur en mercure selon le constructeur. La commission note d’une part que « la valeur maximale atteinte au cours de cet essai doit être considérée comme relativement élevée pour des populations sensibles », et d’autre part que « la question du risque pour la santé de ces personnes doit être posée ». La commission pointe du doigt l’absence de réglementation fixant une concentration maximale en mercure dans l’air ambiant pour des expositions à court ou à long terme, hors cadre du travail. Elle préconise des mesures et des comportements à adopter, et en particulier :

    • d’acheter les lampes contenant le moins de mercure possible. La quantité sera affichée sur l’emballage de l’ampoule ;
    • d’éviter d’utiliser ces lampes lorsqu’il y a risque de casse et d’éviter de les stocker dans des lieux sensibles comme la chambre d’un enfant ;
    • en cas de bris d’une de ces lampes :
      • de ventiler longuement et quitter la pièce ;
      • plus tard, de ramasser les débris avec des gants et du papier absorbant mais de ne surtout pas utiliser l’aspirateur pour éviter de mettre en suspension plus de mercure ;
      • de placer ces déchets dans plusieurs sacs plastiques étanches à jeter dans les points de collecte.

    Ces procédures montrent de fait que, par la présence de mercure, les ampoules fluocompactes ne sont pas des produits de consommation courante anodins. Elles doivent être utilisées avec précaution. Les Led et des technologies d’éclairage encore plus performantes sont attendues avec impatience…

    Ampoules éco : mercure, fluor, UV et cancer


    2. Vapeurs de mercure :
    En fin de vie, ces ampoules sont classées "déchets dangereux".
    La casse de ce type d’ampoule oblige à un nettoyage efficace et une bonne aération. Il est aussi conseillé de se protéger les mains pour le ramassage des débris de verre, notamment pour éviter que le mercure ne pénètre dans le sang.

    3. Poudre de fluor :
    Les LFC sont dangereuses à cause du fluor, qui est un poison extrêmement violent (qui recouvre la surface intérieure de l’ampoule, sorte de poudre blanche).
    Une simple coupure avec ces ampoules, devient problématique pour la santé, car il est impossible d‘éliminer ce fluor qui est hautement toxique.

    4. Rayonnement UV :
    Emettrices de rayons ultraviolets, elles augmenteraient le risque de développer un cancer de la peau." /> 

    Ampoules écolo au mercure fabriquées en Chine

     
     
    source:http://fibroetmetaux.canalblog.com/archives/2012/11/14/25576779.html
     

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  • Dr. med.dent. Paul Engel

    • 1972  Staatsexamen Universität Bern
    • 1972-1978 Volkszahnklinik Basel, Assistent in Privatpraxis
    • 1976 Promotion Dr.med.dent.
    • 1978  Eigene Zahnarztpraxis in Nidau
    • Ab 1994 Keine Verwendung mehr von Amalgam

     

    http://www.amalgam-info.ch/html/engel.html

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    Un dentiste sceptique croit maintenant ses patients
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    La migraine une maladie incurable.pdf
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  • COMMUNIQUE DE PRESSE DU MARDI 5 NOVEMVRE 2013: LES PROFESSIONS DENTAIRES, PREMIERES VICTIMES DES VAPEURS DE MERCURE

    imagesDENTI

    Communiqué de presse (5 nov 2013) – Les professions dentaires, premières victimes des vapeurs de mercure

     

     

    Ce sont les grands oubliés du débat… La question de la toxicité du mercure dentaire est pourtant dans le viseur de nombreuses agences : au niveau européen, le SCHER, a récemment rendu ses conclusions sur la pollution due aux amalgames dentaires, et les effets sanitaires qui en résultent[1] ; une autre, le SCENIHR, cherche à déterminer si ces amalgames représentent un risque pour les patients. En France aussi, l’ANSM  a voulu donner l’illusion qu’elle s’intéressait à la santé des porteurs de mercure dentaire [2]. Mais, dans le même temps, personne ne se penche sur les professions dentaires – chirurgiens-dentistes et assistantes – qui sont pourtant aux premières loges quand il s’agit d’inhaler des vapeurs de mercure.

     

    La dernière fois qu’un organisme public s’est penché sur cette questionc’était l’INRS en 2003 – il y a dix ans [3] ! La publication relève un risque d’intoxication chronique, qui «se traduit le plus souvent après plusieurs années d’exposition par une instabilité émotionnelle, une fatigue excessive, des troubles de la concentration, un état dépressifla présence d’un goût métallique dans la boucheet parfois des troubles de la vision avec constriction du champ visuel », et peut aboutir au « tremblement mercuriel » et à des « troubles de la coordination ».

    Depuis lors, des publications scientifiques ont indiqué que ces risques de troubles neurologiques et cognitifs sont encore plus grands chez les assistantes dentaires, que le risque de suicide est augmenté chez les dentistes hommes ou encore que les dentistes femmes et les assistantes dentaires souffrent de troubles de la reproduction [4]… toutes choses (et bien d’autres) imputables aux vapeurs de mercure.

     

    Ces constats plaident vigoureusement en faveur d’uneinterdiction du mercure dentaire et de la mise en place d’une législation protégeant les dentistes et leurs salariés. C’est en ce sens que l’euro-députée Karima Delli a déposé, le 23 octobre dernier, une question écrite à la Commission [5] ;c’est dans cette intention aussi que nos associations vont écrire au ministre du Travail pour lui demander d’agir.

     

    Alors que les Nations ont exprimé en octobreen signant la Convention de Minamata sur le mercure, qu’elles refusent de continuer à empoisonner leurs écosystèmes et leurs populations au mercure [6], il n’est pas possible de faire du cabinet dentaire le lieu d’une exception morbide.

     

    En contournant cette question, les pouvoirs publics encourent le risque d’un puissant mécontentement de la part des professionnels exposés. En avril 2012, une assistante dentaire norvégienne a fait valoir devant la Justice de son pays que les pathologies dont elle souffrait étaient bel et bien consécutives à son exposition professionnelle au mercure [7]. Une première qui pourrait inspirer des suites sur notre territoire.

     

    [1]. http://reseau-environnement-sante.fr/2013/10/09/dossiers-par-themes/communique-de-presse-9-octobre-2013-mercure-dentaire-le-scher-allume-un-nouveau-voyant-rouge/

     

    [2]. L’Agence du médicament a produit un projet de rapport biaisé, qui visait une fois de plus à innocenter l’amalgame ; mais ce rapport n’a pas tenu face à l’audition de Non Au Mercure Dentaire devant la Commission de la prévention des risques liés à l’utilisation des produits de santé.  http://reseau-environnement-sante.fr/2013/10/22/dossiers-par-themes/communique-de-presse-22-octobre-2013-lagence-du-medicament-ansm-contrainte-de-renoncer-a-un-rapport-indigent-sur-le-mercure-dentaire/

     

    [3].http://www.inrs.fr/accueil/produits/mediatheque/doc/publications.html?refINRS=TC%2091

     

    [4]. Voir le dossier : « Dentistes, assistantes dentaires : protégez-vous du mercure ! » sur le site de NAMD. http://www.non-au-mercure-dentaire.org/les-dossiers.php?article=195

     

    [5]. http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+P-2013-012141+0+DOC+XML+V0//FR&language=fr

     

    [6]. http://www.developpement-durable.gouv.fr/La-France-signe-la-Convention.html

     

    [7]. http://www.non-au-mercure-dentaire.org/actualites-non-au-mercure.php?article=169

     

    source  http://fibroetmetaux.canalblog.com/


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  • Comment se désintoxiquer des métaux lourds?

     
    Il y a actuellement 2 façons de procéder pour désintoxiquer l’organisme des métaux lourds, et il est regrettable qu’aucun de ces traitements ne soit remboursé en France.

    Quel que soit le mode de chélation ( la chélation consiste à éliminer les métaux lourds avec un produit chélateur qui va chercher le métal toxique dans les tissus, l’absorbe en se liant à lui, et l’entraîne vers les organes d’élimination) choisi, ces 4 axiomes de base doivent donc être respectés:

    1. Un bilan sanguin spécifique pour vérifier les fonctions rénales et hépathiques


    2. Une supplémentation énergique (compléments vitamines et minéraux) avant toute chélation, et maintenue pendant toute la durée du traitement, hors jours et veille de chélation (Vitamine C, Probiotiques, Ampoules d'Oligosol de Sélénium (à prendre à jeun le matin), Oméga 3,6,9, Granions de Zinc (à prendre le soir), Vitamine D (si carences confirmées par analyse de sang)
    NE SURTOUT PAS PRENDRE D'ALGUES, DE CHLORELLA CAR TRES NOCIVES  (Elles sont naturellement chargées en métaux lourds)!!! 

    3. Le test de mobilisation, avec un  produit spécifique, appelé "Chélateur" sera fait avant tous travaux dentaires et après une semaine d’abstinence de produits de la mer et, si possible, une alimentation bio


    4. Prise de probiotiques, de Vitamine C naturelle en poudre, anti-oxydants puissants, enzymes, draineur hépatique, ect…


     5. Chélation chaque mois réalisée par le médecin toxicologue spécialisé  

     

    6. Dépose (si nécessaire) des amalgames et autres métaux en bouche, réalisée par un dentiste formé, spécialisé et équipé suivit d'une chélation dans les 3 heures suivantes!   

     Si on vous propose de déroger à ces principes de base, sur lesquels tous les spécialistes de la chélation sont d’accord, sachez qu’on vous oriente dans une mauvaise direction!



    Propos extraits de l’ouvrage « Vérités sur les maladies émergentes » de Françoise Cambayrac

     


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